L’atelier du c01n, le Fablab version Labomedia n’en fini pas de s’inaugurer.
La quatrième édition spécialement conçue pour faire briller le festival municipal Orléanoïde s’articule autour de trois axes majeurs : Le bricolage dans le c01n, le carnaval des Reprap et la présentation de la résidence « Géographies Variables »
10h Les chantiers en cours
TCN : Toue Cabanée Numérique.
Projet réconciliant la tradition ligérienne et les arts numériques : L’idée est de construire une toue en utilisant les techniques modernes d’ingénierie assistée par ordinateur.
ROS : La Ruche Open Source
L’idée est d’implanter une ruche en centre ville, d’y placer des capteurs pour tenter de mieux comprendre son fonctionnement et à terme sauver toute les ruches du monde menacées par l’agriculture
Hard Drive Juke Box.
Un Juke box qui joue vos chanson préférées via des disques durs hackés
14h Le carnaval des Reprap,
la Reprap est le pendant libre et open source du monde l’imprimante 3D.
Labomedia profitera de cette inauguration pour réparer sa FoldaRap et invite Loïc à amener ses imprimantes et à présenter l’histoire de la RepRap de sa création à aujourdh’ui.
18h Présentation de la résidence Géographie variable,
Labomedia s’associe à incident.net et La Chambre Blanche pour participer à un programme croisé de résidences entre la France et le Québec autour de la thématique « Géographies Variables ».
Labomedia invite ainsi en résidence pendant un mois (du 14 novembre au 15 décembre) un artiste français (Fabien Zocco) et une artiste québécoise (Nataliya Petkova).
Les artistes présenteront fin d’après midi leurs travaux antérieurs, leur démarche de création ainsi que le projet en cours de réalisation à Orléans.
Fabien Zocco (Lille) présentera le projet « It’s a tweet world » : ce projet vise à mettre en place une situation de récit potentiel, qui se situera à l’intersection des espaces de données et de l’espace physique, en s’appuyant sur les déambulations de l’artiste et le réseau Twitter
Nataliya Petkova (Québec) présentera un projet qui s’organise essentiellement autour de la volonté de réfléchir sur la notion d’identité territoriale, physique et virtuelle, en abordant la géographie à l’échelle microscopique et en ramenant l’expérience d’errance territoriale à un point de quasi-fixité pour le corps du performeur. L’artiste sera ainsi amenée à ausculter la ville avec des appareils de sa confection pour en donner ensuite une représentation numérique sensible –